Actualités

Remembering  Jean-Louis Teicher, radio operator aboard Cousteau's Calypso
Remembering Jean-Louis Teicher, radio operator aboard Cousteau's Calypso
We have the immense sadness to learn of the disappearance of Jean-Louis Teicher, who was a radio operator aboard the Calypso. The Cousteau team shares the grief of his family and friends and wishes them all our condolences.
C'était Jean-Louis Teicher, radio à bord de la Calypso de Cousteau
C'était Jean-Louis Teicher, radio à bord de la Calypso de Cousteau
Nous avons l’immense tristesse d’apprendre la disparition de Jean-Louis Teicher, qui était radio à bord de la Calypso. L’Equipe Cousteau se joint à la peine de sa famille et ses amis et leur souhaite toutes nos condoléances.
Remembering Paul Zuena, emblematic boatswain of Cousteau's Calypso
Remembering Paul Zuena, emblematic boatswain of Cousteau's Calypso
We are deeply saddened to learn of Paul Zuena's disappearance. Paul Zuena was one of the emblematic boatswains of Calypso and Espadon for more than 20 years. Trained by the highly respected Maurice Léandri when he joined the team in April 1960, he quickly became a respected boatswain and took the start of numerous scientific and cinematographic expeditions. Paul Zuena, very proud to be the boatswain of the mythical Calypso, was on board when in 1969 it went through Seattle, the port where she was built in 1942.
C'était Paul Zuéna, bosco emblématique de la Calypso
C'était Paul Zuéna, bosco emblématique de la Calypso
Nous avons l’immense tristesse d’apprendre la disparition de Paul Zuéna. Paul Zuéna fut l’un des boscos emblématiques de la Calypso et de l’Espadon, durant plus de 20 ans. Formé par le très respecté Maurice Léandri à son arrivée dans l’équipe en avril 1960, il devient vite un bosco respecté et prend le départ de nombreuses expéditions scientifiques et cinématographiques. Paul Zuena, très fier d’être le bosco de la mythique Calypso, est à bord lorsqu’en 1969 celle-ci rejoint Seattle, le port où elle fut construite en 1942.
Cousteau Weekend, the Calypso Adventure: Episode 2, Calypso’s search for Atlantis
Cousteau Weekend, the Calypso Adventure: Episode 2, Calypso’s search for Atlantis
The Cousteau Weekends are back for 2019. Every weekend until March 8, 2019 we will upload a Cousteau documentary that will be available for free for all during one week. This new collection of Cousteau classic movies is centered around Calypso’s adventure across the world. We have therefore specially chosen 8 episodes for you which best illustrate the adventure the Cousteau Team aboard their legendary boat: the Calypso. Last week you joined us for our first film "Deeper, Further, Longer." A beautiful fresco of the Cousteau adventure from the point of view of the Captain, a film that tells the story of a life, a man and a boat that allowed us to see our world from another eye .
Weekend Cousteau, l'aventure Calypso: Episode 2, A la recherche d'Atlantide
Weekend Cousteau, l'aventure Calypso: Episode 2, A la recherche d'Atlantide
Les Weekend Cousteau sont de retour pour 2019.  Tout les samedis jusqu'au 8 mars 2019 nous allons vous mettre un film Cousteau en ligne qui sera accessible gratuitement pour tous pendant une semaine. Cette nouvelle série de films classique Cousteau sont centrer sur l'aventure Calypso sur tout les continents. Nous avons donc spécialement choisi 8 épisodes pour vous qui illustrent au mieux l'aventure de l'Equipe Cousteau a bord de son bateau légendaire: la Calypso. La semaine dernière vous nous avez rejoint pour notre premier film "Profond, Loin, Longtemps."  Une jolie fresque de l'aventure Cousteau du point de vue du Commandant, un qui film nous raconte l'histoire d'une vie, d'un homme et d'un bateau qui nous ont permis de voir notre monde d'un autre oeil. 
Happy Thanksgiving from Cousteau
Happy Thanksgiving from Cousteau
Our captain, Jacques-Yves Cousteau would be so proud of where we are today. Hislasting legacy is still being carried on until this day and we have so much to be gratefulfor.
Îles disparues: qu'advient-il de leurs nations et de leurs peuples?
Îles disparues: qu'advient-il de leurs nations et de leurs peuples?
Un article de Riad Meddeb, Conseiller en politique de développement durable pour le Programme des Nations Unies pour le développement et Daniel Naujoks, Professeur auxiliaire à l'Université de Columbia et The New School. Alors que les négateurs du changement climatique gagnent du terrain dans certains pays, les États insulaires du monde entier subissent déjà les conséquences dévastatrices d'un climat en mutation. De nombreuses îles deviendront bientôt inhabitables, et la question n'est pas de savoir si, mais quand, des communautés entières seront déplacées. Aujourd’hui, plus que jamais, dans le cadre de l’examen à mi-parcours de la voie SAMOA (SAMOA Pathway), l’avenir des pays est en jeu et des solutions de migration novatrices pourraient être la seule issue. Cela remet en question des notions séculaires sur ce que signifie être un État. Les difficultés faces aux états insulaires Intensifiées par le réchauffement des océans, les tempêtes tropicales sont de plus en plus destructives et déplacent des populations entières d'un seul coup. Après l'ouragan Irma, chacune des cent mille personnes vivant sur l'île caribéenne de Barbuda devait partir. Pour la première fois en 300 ans, l'île est restée complètement inhabitée après que l'ouragan ait détruit 90% des bâtiments et des véhicules.  Ce ne sont pas seulement des événements soudains, comme des tempêtes exacerbées par le climat, qui rendent la vie sur les pays insulaires de plus en plus difficile. L'augmentation de la désertification et de la sécheresse, affectant les moyens de subsistance des familles et les moyens de subsistance des agriculteurs, ont des effets sur le changement climatique. Les processus à évolution lente tels que l'élévation du niveau de la mer, l'érosion côtière et la contamination par l'eau salée dégradent le niveau de vie. Près du tiers des populations de ces petits États insulaires en développement (ou petits États insulaires en développement) vivent à moins de cinq mètres au-dessus du niveau de la mer. Bien que la population totale des PEID représente environ 65 millions de personnes, soit moins de 1% de la population mondiale, ces populations sont parmi les plus vulnérables aux effets du changement climatique.
C'était Octave Léandri, technicien indispensable de l'Equipe Cousteau
C'était Octave Léandri, technicien indispensable de l'Equipe Cousteau
Par Franck Machu. Octave Léandri, que tout le monde nomme affectueusement Titi, rejoint l’équipe de la Calypso le 31 août 1951, alors qu’elle se prépare à sa première mission en mer Rouge. Il vient seconder le chef mécanicien René Montupet. C’est en mer Rouge au cours de cette première expédition qu’il débute la plongée sous-marine, au milieu des récifs majestueux. C’est aussi l’époque des vaches maigres, de l’aventure, où l’esprit de débrouillardise est fondamental. Titi se rend rapidement indispensable. Son rôle ne se limite pas à la bonne marche de la mécanique du bateau en mission, mais aussi aux innombrables périodes de travaux en chantier navals, où la Calypso prend peu à peu sa silhouette de navire océanographique. Mission de recherche dans le Golfe persique Au début de l’année 1954, Octave est de la mission géologique dans le Golfe Persique, à la recherche du pétrole d’Abu Dhabi. Il partage cette mission avec son jeune frère Maurice, embauché en tant que bosco. Maurice a un physique d’acteur de péplums et apparaît souvent à l’image. Octave est un homme discret qui ne se met que rarement dans le champ de l’objectif. Il faut un œil aiguisé pour l’apercevoir à la dérobé sur les photos ou les films. La campagne dans le Golfe donne lieu à 400 stations de prélèvement d’échantillons, un travail de forçat des mers auquel aucun homme du bord n’échappe, dans une chaleur suffocante et des eaux peuplées de requins. Aucun équipement n’oubliera de tomber en panne et de leur donner du fil à retordre. La mission dure des mois sans presque aucune escale et met les organismes et le moral à rude épreuve. Au retour en France, une longue permission leur est accordée. Les frères Léandri ont définitivement gagné leurs galons de calypsoniens.
C'était André Laban, ingénieur de la soucoupe plongeante
C'était André Laban, ingénieur de la soucoupe plongeante
Par Franck Machu. André Laban, décédé à l’approche de ses 90 ans, fut un des personnages cléf de l’équipe Cousteau. Comme Frédéric Dumas ou Albert Falco, il joua un rôle essentiel. Conseil aiguisé, parole lucide, complice sans masque, il fut l’un des seconds de Cousteau dans les années d’intense créativité. L'embarquement sur la Calypso Tout commence en 1952, sur la plage arrière de la Calypso amarrée au Vieux Port de Marseille pour décharger les amphores fraichement remontées de l’épave antique du Grand Cougloué. Cousteau cherche un ingénieur pour prendre le relais de Jean de Wouters. André Laban vient de décrocher son diplôme d'ingénieur chimiste. Il est attiré par la plongée et l’univers sous-marin dévoilé par Cousteau dans ses premiers courts métrages. « Que sais-tu faire ? » lui demande Cousteau.  « Rien, lui répond-il, mais je sais un peu bricoler ». Cousteau lui propose un essai d’une semaine… une semaine qui se prolongera 20 ans. Laban est très vite affecté à l’Office Français de Recherche Sous-marines (OFRS) que Cousteau crée à Marseille en 1953, et imagine comme le pendant civil du GERS de la Marine nationale. Le premier défi est de concevoir un boitier sous-marin de caméra de télévision pour une émission en direct au court de l’année 1953.
C'était Hedwige Bienvenu, la chef monteuse de Equipe Cousteau
C'était Hedwige Bienvenu, la chef monteuse de Equipe Cousteau
Par Franck Machu. Hedwige Bienvenu, décédée en avril 2018, fut la chef monteuse des films Cousteau. Elle fut précédée dans cette tâche par Georges Alépée et John Soh, mais su reprendre le flambeau avec maestria. Lorsque Jacques-Yves Cousteau est à Paris, les deux personnes avec lesquelles il passe le plus de temps à travailler sont Hedwige Bienvenu et Lise Coenca, sa secrétaire. Les débuts avec Cousteau Hedwige Bienvenu débute dans le cinéma en 1962, comme script. Elle apprend sur le tas et réalise des stages, puis passe au montage, où elle travaille pour Frédéric Rossiff, le fameux cinéaste animalier. Elle intervient pour la première fois chez Cousteau en 1971, au moment où il réalise les versions françaises des films sur les loutres, les pieuvres et les dauphins. Elle enregistre Philippe Diolé qui a effectué la traduction française des textes américains, donne son avis sur le ton, sur la durée des phrases, et réalise la part purement technique du montage voix-images-musique. Elle refuse pourtant d’entrer à ce moment-là dans l’équipe, et retourne au cinéma traditionnel, travaillant sur des films de long métrage avec Papatakis, Trintignant, Drach. Elle veut rester dans le long métrage et cherche sa voie.
Côtes américaines : Hécatombe de dauphins et de phoques
Côtes américaines : Hécatombe de dauphins et de phoques
Depuis le 1er Juillet des dizaines de dauphins ainsi que des centaines de phoques se sont échouées sur les plages de Floride et du nord-est des Etats-Unis. Pour comprendre l’origine de ces morts des enquêtes ont été lancés par le NOAA. En Floride, sur les côtes sud-ouest, 48 dauphins et des centaines de tonnes de poissons ont été retrouvés morts. La cause : une « marée rouge » propagé par la microalgue Karenia brevis, un organisme unicellulaire microscopique qui produit une neurotoxine, surtout présent dans le Golfe du Mexique. Habituellement dans cette région ils comptent trois ou quatre dauphins échoués par mois. Les autopsies réalisées sur 10 des 48 dauphins ont confirmé la présence de Karenia brevis, ce qui atteste que les morts "sont probablement liées à la marée rouge", dit Teri Rowles, responsable d'un programme de la NOAA sur la santé des mammifères marins, lors d'une conférence téléphonique avec la presse.
« 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 »