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Cousteau Day : Honorer l'Héritage du Commandant et la Protection de la Planète
Cousteau Day : Honorer l'Héritage du Commandant et la Protection de la Planète
Cousteau Day, célébré le 11 juin, est une journée dédiée à l'honneur de l'anniversaire du célèbre explorateur océanographique et défenseur de l'environnement, le commandant Jacques-Yves Cousteau. Cette journée est non seulement un hommage à ses nombreuses contributions à l'exploration sous-marine et à la sensibilisation environnementale, mais elle est aussi une occasion de reconnaître et de célébrer les efforts des individus et des organisations qui œuvrent pour protéger notre planète.
Francine Cousteau Accueillie par les Élèves de l'École Donibane Saint Famille d’Urquijo
Francine Cousteau Accueillie par les Élèves de l'École Donibane Saint Famille d’Urquijo
Le 7 juin, Francine Cousteau a été chaleureusement accueillie à l'école Donibane Saint Famille d’Urquijo par Madame Aurélie Boutevin. Celle-ci dirige un groupe d'élèves passionnés qui ont minutieusement étudié la vie du Commandant Cousteau, ses découvertes extraordinaires, ses recherches novatrices et ses explorations audacieuses. Lors de cette visite mémorable, les élèves ont offert à Madame Francine Cousteau des cartes de remerciement illustrées de dessins et de messages personnels touchants. C'est avec une immense joie que nous partageons avec vous ces messages émouvants, témoignant de l'impact durable du Commandant Cousteau sur les jeunes.✨ Vous trouverez toutes les cartes ci-dessous.
Festival Cousteau de l'Océan : Célébrons et Protégeons l'Océan
Festival Cousteau de l'Océan : Célébrons et Protégeons l'Océan
Chers amis de l'océan, À l'occasion de la Journée Mondiale de l'Océan, nous sommes ravis de vous annoncer le Festival Cousteau de l'Océan ! Du 8 au 11 juin 2024, rejoignez-nous pour quatre jours de célébration, d'éducation et d'action en hommage au Commandant Jacques-Yves Cousteau et à tous ceux qui se battent pour protéger notre planète bleue. Les Thèmes et Films du Festival Chaque jour du festival sera dédié à un thème spécifique, reflétant l'importance et la diversité des enjeux liés à nos océans. Nous vous proposerons également des films exclusifs en HD pour découvrir ou redécouvrir le Commandant Cousteau comme vous ne l'avez jamais vu. 8 juin : L'Océan - Célébrons la beauté et la richesse de nos océans, sources de vie et de biodiversité. Film : La Légende de Calypso 9 juin : L'Avenir - Réfléchissons ensemble aux actions que nous devons entreprendre pour assurer un avenir durable pour les générations futures. Film : Lilliput en Antarctique  10 juin : Le Climat - Mettons en lumière le rôle crucial des océans dans la régulation du climat et l'importance de leur protection face au changement climatique. Film : Le Testament de l'Île de Pâques 11 juin : La Vie du Commandant Cousteau - Honorer la mémoire du Commandant Cousteau, explorer son héritage et inspirer une nouvelle génération de défenseurs de l'océan. Film : Profond, Loin, Longtemps
Caen, Normandie: Une Commémoration Emblématique par l'Équipe Cousteau
Caen, Normandie: Une Commémoration Emblématique par l'Équipe Cousteau
Le capitaine Patrice Quesnel a installé le grand pavois sur l'Alcyone pour la préparer en l'honneur du Débarquement du 6 juin 1944, également connu sous le nom de D-Day, qui a eu lieu sur les côtes normandes. Ce jeudi 6 juin 2024 marque le 80e anniversaire de l'opération Overlord, une des batailles les plus décisives de la Seconde Guerre mondiale, où les forces alliées ont lancé une offensive massive contre les positions allemandes sur les plages de Normandie. Le Débarquement du 6 juin 1944 marque le début de la libération de l'Europe occupée par les nazis. Les plages de Normandie ont vu des milliers de soldats alliés débarquer, leur courage et leurs sacrifices permettant à la France d'être libérée. Ces héros continuent d'être honorés aujourd'hui.
Jacques-Yves Cousteau à l’honneur du Festival du Film d’Archéologie sous-marine et du Patrimoine maritime 2023
Jacques-Yves Cousteau à l’honneur du Festival du Film d’Archéologie sous-marine et du Patrimoine maritime 2023
Le Commandant Jacques-Yves Cousteau sera à l’honneur du Festival du Film d’Archéologie sous-marine et du Patrimoine maritime 2023 de Collioure et Port Vendres, les 24, 25, 26 novembre 2023.  Depuis 5 ans, le Festival du film d’Archéologie sous-marine et du Patrimoine maritime, autrement nommé « SUBCAM Archéologie », est un rendez-vous des passionnés de la mer et des secrets qu’elle recèle, un festival pour les amoureux d’images et d’histoire, un relais pour les films d’archéologie sous-marine et d’épaves antiques ou modernes, qui met à l’honneur les réalisateurs et leur donne la parole à l’occasion des projections de leur film. Le public vient se nourrir de leur passion et s’étonner de leur savoir-faire.
Festival Ocean Cousteau: Fêtons l'Océan, sa beauté et ses protecteurs
Festival Ocean Cousteau: Fêtons l'Océan, sa beauté et ses protecteurs
Que représente l'océan pour vous ? Doit-on commémorer la journée mondiale de l'océan ?   L'Océan est un cadeau de la nature et il faut l'apprécier. Nous avons tous besoin d'un océan sain et nous devons nous battre pour cela afin de protéger les générations futures. L'Océan est notre avenir.  
KENAVO YVES ! Equipe Cousteau rend hommage à Yves Gourlaouen
KENAVO YVES ! Equipe Cousteau rend hommage à Yves Gourlaouen
Remerciements à Robert Pollio pour son témoignage C’est avec tristesse que nous apprenons le décès de Yves Gourlaouen, survenu le 15 septembre 2021. C’est en janvier 1976 qu’Yves lia son destin à celui de l’équipe Cousteau en devenant le Capitaine de la Calypso durant plus d’une année. Il participa à toutes les missions menées cette années-là en Méditerranée. Cousteau s’intéressait alors de près à la légende de l’Atlantide et en recherchait les sources historiques. Sous le commandement d’Yves Gourlaouen le navire chemina le long des côtes de Crête, découvrant l’épave du navire français la Thérèse, fouillant l’épave d’Anticythère ; il visita les rivages de Santorin, son immense Caldeira, y étudiant les nombreux vestiges minoens qui jonchent son sol marin et terrestre.  La Calypso explora le canal de Khéa où, par 110 mètre de fond, reposait l’immense épave du Britannic, sister ship du Titanic, coulé en 1916. Le sondeur latéral permit de localiser le géant englouti, assez éloigné du lieu supposé de son naufrage. Des plongées périlleuses au Trimix dans de forts courants, nécessitant toute une logistique bien rodée et le professionnalisme de ses marins, ont marqué l’histoire de la plongée et de l’équipe.  Comme en témoigne Robert Pollio, qui partagea ces missions avec Yves Gourlaouen : « Nous nous souvenons de sa compétence et de sa gentillesse ». Il était secondé par Paul Zuena. Jo Séguy officiait comme bosco, mais loin d’être un commandant distant avec son équipage, Yves ne rechignait jamais à mettre la main à la pâte et à se mêler aux manœuvres, comme en témoigne cette photo prise sur l’île de Dhia en Crête lors de la récupération de grosses ancres vénitiennes perdues par un gros bateau marchand, et qui seront utilisées pour ancrer la Calypso au-dessus de l’épave du Britannic.
Cousteau à la NASA, impasses et rêves futuristes
Cousteau à la NASA, impasses et rêves futuristes
Cet article a été initialement publié par la revue Terrestres qui, à la demande de l’auteur et de The Cousteau Society, en a autorisé la reproduction sur ce site. Christophe Camus Nous livrons cet article comme jalon d’une histoire de l’écologie politique et des débats qu’elle a suscités dans les années 1970. En 1976, le célèbre commandant Cousteau dialogue avec Stewart Brand et des dirigeants de la Nasa sur les possibilités de conquête spatiale, entre enthousiasme hors sol, impasses et rêves futuristes portés par des intérêts économiques, financiers et politiques puissants. Cette question retrouve aujourd’hui une actualité alors que les promesses de colonisation de Mars ne cessent d’être relancées par certains dirigeants de la Silicon Valley. L’auteur, Christophe Camus, explore à la fois les visions futuristes de l’architecture et la question de l’habitat sous-marin. Il choisit de ne pas condamner ces projets de conquête spatiale mais de restituer la diversité des arguments et des points de vue qui s’échangeaient sur le sujet dans les années 1970. Ce retour historique et cette mise en perspective d’un débat qui ne cesse de renaître nous ont paru intéressants et utiles. A la question « Faut-il quitter la Terre ? », comme revue d’écologie politique engagée dans des luttes sociales concrètes, Terrestres donne sans hésiter une réponse négative. Nous nous opposons aux rêves cornucopiens qui empêchent toute véritable refondation de nos relations concrètes avec le monde vivant, ici et maintenant. Mais il nous a semblé utile de livrer ce texte comme fragment d’une controverse sans cesse relancée. La rédaction de Terrestres L'exploration des fonds marins et celle de l'espace ont-elles une histoire - et des technologies - en commun ? Interrogé par des ingénieurs de la NASA, le commandant Cousteau témoigne du parcours d'une figure de la colonisation des mers venue sur le tard à une écologie qui assume son refus de quitter le « vaisseau-terre ». Christophe Camus
C'était François Dorado, plongeur et photographe de talent de l’âge d’or de l’Odyssée sous-marine.
C'était François Dorado, plongeur et photographe de talent de l’âge d’or de l’Odyssée sous-marine.
Nous apprenons avec beaucoup de tristesse la disparition de François Dorado, plongeur et photographe de talent de l’âge d’or de l’Odyssée sous-marine. François Dorado est né le 3 mai 1946 à Montmartre, dans le fameux quartier des artistes de Paris, lieu de prédestination pour ce futur aventurier artiste. En 1960, François étudia à la célèbre école Boulle de Paris, où il suivit un enseignement de design et d’apprentissage des métiers d'Arts, puis s'inscrivit à l'Institut Français de la Photo. C’est à cette époque qu’il apprit à plonger, au cours de stage d'été au Centre International de Plongée de Bandol, et où il eut pour professeur de photographie sous-marine l’un des pionniers de la discipline, Serge de Sazo, qui lui enseigna le maniement d’un Rolleiflex en boitier étanche (Rolleimarin).   Le temps du service militaire venu, il eut le privilège, rare pour un appelé, d’être admis à l'école des plongeurs de la Marine Nationale de Saint Mandrier, où il acquit le plus haut niveau de pratique de la plongée possible à l’époque. Il fut ensuite affecté à l’unité de Marine Nationale de l'atoll de Mururoa, dans le Pacifique, en tant que plongeur-photographe et responsable du laboratoire photo. Il assista ainsi au premier essai atomique français, le 2 juillet 1966.   Service national terminé, François fut recruté par le Club Méditerranée, en tant que moniteur de plongée et de photo sous-marine. Il pratiquait aussi le ski, la voile, le Judo et le cheval. Il y passa 2 années intenses à voyager et à effectuer des reportages photo.   En 1968, Jacques-Yves Cousteau recrutait une nouvelle génération de plongeurs et photographes pour la série de télévision de l’Odyssée sous-marine qui rencontrait déjà un grand succès. François se présenta à Albert Falco. Son solide bagage de plongeur et de photographe collait parfaitement au profil recherché. Il débuta par des missions locales, des participations aux expériences de plongées profondes, des expéditions sur l'Espadon, des missions de ravitaillements de la bouée-laboratoire au large de Villefranche sur Mer. Puis s’enchainèrent les grandes expéditions et les participations à des films marquants, tels les calmars de Santa Catalina, les raies manta de Californie, les dragons des Galapagos, les loutres de Monterey, les poulpes géants de Seattle, les hippopotames en Afrique, les baleines des Bermudes. Il passa ensuite six mois en Antarctique, au cours d’une des plus longues et difficiles expéditions de la Calypso, où son ami Michel Laval mourra dans un tragique accident sur l'ile Deception. Après l’Antarctique ce fut l’Arctique, avec des expéditions en Alaska, puis dans le détroit de Béring à la rencontre des morses. Il partit en repérage avec Louis Prezelin, son binôme de cabine et d'expédition, et son complice, avec lequel il partage une passion pour la musique. François passa aussi du temps à Los Angeles à la préparation des expéditions. La dernière grande expédition à laquelle il participa fut au Canada, pour le film sur les castors. Une anecdote savoureuse : en août 1969, un ami, Joe Cocker, l'invita au Festival de Woodstock. Il l’accompagna et passa trois jours au pied de la scène à assister à cet évènement majeur de la musique rock, côtoyant tous les artistes de légende du moment. Cousteau, qui l’attendait pour un nouveau départ, parvient à la joindre par téléphone : - « Dorado, où êtes-vous ? Nous partons en expédition ! » - « Commandant, je suis bloqué à Woodstock, on ne peut plus circuler dans les 200km à la ronde... » - « OK, Je vous envoie un hélico ! » C’est en effet un hélicoptère qui vint le cueillir à Woodstock et lui permit de rejoindre la Calypso...   François quitta l'équipe Cousteau en 1976, pour vivre une autre de ses passions : la musique, créant un studio d’enregistrement dans le sud de la France. Par la suite il devint le patron de la radio Skyrock et l’organisateur de nombreux concerts.  Il organisait régulièrement les retrouvailles des anciens de l'équipe Cousteau. Il n’avait pas d’équivalent pour raviver l’esprit de camaderie de la Calypso et organiser chaque année des retrouvailles riches en émotions. Ce rôle fédérateur va cruellement manquer. Nous adressons nos plus sincère condoléances à sa famille et à ses proches.  (Biographie par Marc Langleur)
Happy Thanksgiving from Cousteau
Happy Thanksgiving from Cousteau
Our captain, Jacques-Yves Cousteau would be so proud of where we are today. Hislasting legacy is still being carried on until this day and we have so much to be gratefulfor.
Îles disparues: qu'advient-il de leurs nations et de leurs peuples?
Îles disparues: qu'advient-il de leurs nations et de leurs peuples?
Un article de Riad Meddeb, Conseiller en politique de développement durable pour le Programme des Nations Unies pour le développement et Daniel Naujoks, Professeur auxiliaire à l'Université de Columbia et The New School. Alors que les négateurs du changement climatique gagnent du terrain dans certains pays, les États insulaires du monde entier subissent déjà les conséquences dévastatrices d'un climat en mutation. De nombreuses îles deviendront bientôt inhabitables, et la question n'est pas de savoir si, mais quand, des communautés entières seront déplacées. Aujourd’hui, plus que jamais, dans le cadre de l’examen à mi-parcours de la voie SAMOA (SAMOA Pathway), l’avenir des pays est en jeu et des solutions de migration novatrices pourraient être la seule issue. Cela remet en question des notions séculaires sur ce que signifie être un État. Les difficultés faces aux états insulaires Intensifiées par le réchauffement des océans, les tempêtes tropicales sont de plus en plus destructives et déplacent des populations entières d'un seul coup. Après l'ouragan Irma, chacune des cent mille personnes vivant sur l'île caribéenne de Barbuda devait partir. Pour la première fois en 300 ans, l'île est restée complètement inhabitée après que l'ouragan ait détruit 90% des bâtiments et des véhicules.  Ce ne sont pas seulement des événements soudains, comme des tempêtes exacerbées par le climat, qui rendent la vie sur les pays insulaires de plus en plus difficile. L'augmentation de la désertification et de la sécheresse, affectant les moyens de subsistance des familles et les moyens de subsistance des agriculteurs, ont des effets sur le changement climatique. Les processus à évolution lente tels que l'élévation du niveau de la mer, l'érosion côtière et la contamination par l'eau salée dégradent le niveau de vie. Près du tiers des populations de ces petits États insulaires en développement (ou petits États insulaires en développement) vivent à moins de cinq mètres au-dessus du niveau de la mer. Bien que la population totale des PEID représente environ 65 millions de personnes, soit moins de 1% de la population mondiale, ces populations sont parmi les plus vulnérables aux effets du changement climatique.
C'était Octave Léandri, technicien indispensable de l'Equipe Cousteau
C'était Octave Léandri, technicien indispensable de l'Equipe Cousteau
Par Franck Machu. Octave Léandri, que tout le monde nomme affectueusement Titi, rejoint l’équipe de la Calypso le 31 août 1951, alors qu’elle se prépare à sa première mission en mer Rouge. Il vient seconder le chef mécanicien René Montupet. C’est en mer Rouge au cours de cette première expédition qu’il débute la plongée sous-marine, au milieu des récifs majestueux. C’est aussi l’époque des vaches maigres, de l’aventure, où l’esprit de débrouillardise est fondamental. Titi se rend rapidement indispensable. Son rôle ne se limite pas à la bonne marche de la mécanique du bateau en mission, mais aussi aux innombrables périodes de travaux en chantier navals, où la Calypso prend peu à peu sa silhouette de navire océanographique. Mission de recherche dans le Golfe persique Au début de l’année 1954, Octave est de la mission géologique dans le Golfe Persique, à la recherche du pétrole d’Abu Dhabi. Il partage cette mission avec son jeune frère Maurice, embauché en tant que bosco. Maurice a un physique d’acteur de péplums et apparaît souvent à l’image. Octave est un homme discret qui ne se met que rarement dans le champ de l’objectif. Il faut un œil aiguisé pour l’apercevoir à la dérobé sur les photos ou les films. La campagne dans le Golfe donne lieu à 400 stations de prélèvement d’échantillons, un travail de forçat des mers auquel aucun homme du bord n’échappe, dans une chaleur suffocante et des eaux peuplées de requins. Aucun équipement n’oubliera de tomber en panne et de leur donner du fil à retordre. La mission dure des mois sans presque aucune escale et met les organismes et le moral à rude épreuve. Au retour en France, une longue permission leur est accordée. Les frères Léandri ont définitivement gagné leurs galons de calypsoniens.
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