Pollution
Unesco World Heritage Site : Cousteau supports the nomination process of the exeptional sites in the Red Sea coast of Sudan
On 25th February 2016, Cousteau and the Arab Regional Centre for World Heritage (Unesco) organised a meeting of experts convened at UNESCO Headquarters in Paris.
This meeting aimed at strengthening local management capacities and scientific partnership for two marine protected areas: Sanganeb Atoll and Dungonab Bay-Mukkawar Island. Another important goal was encouraging sustainable development and ecotourism to the benefit of local communities. Moreover, the concentration of charismatic species such as manta rays, sharks, dugongs, sea turtles and coral reef ecosystems is a remarkable support to develop ecostourism and to protect its unique marine life.
The meeting gathered a group of international and Sudanese experts representing the Sudanese Red Sea University, the Sudanese Wildlife Conservation General Administration, the Sudanese National Man and Biosphere (MAB) Committee, the Sudanese National Commission for UNESCO, the Regional Organization for the Conservation of the Red Sea & Gulf of Aden (PERSGA); the Sudanese NGO Sudia, The Deep Aquarium (UK), the University of Windsor (Canada) and the International Union for Conservation of Nature (IUCN).
Le trou d’ozone commence-t-il à guérir ?
Des chercheurs ont trouvés les premiers véritables signes que le trou dans la couche d’ozone au dessus de l’Antarctique commence à guérir.Les scientifiques ont dit qu’en septembre 2015 le trou était à peu près 4 million de km2 plus petit qu’il ne l’était en 2000 , cela représente une zone d’environ la taille de l’Inde.Cette amélioration a été attribuée au protocole de Montréal. Cet accord international de 1987 a permis de bannir la production industrielle des chlorofluorocarbones (CFC) qui sont des produits chimiques contenant du chlore qui détruisent l’ozone stratosphérique.
La production ainsi que la destruction d’ozone dans la stratosphère s’équilibrent au fil du temps, ce qui signifie que historiquement il y a toujours eût un niveau constant pour protéger la Terre et bloquer les rayons nocif d’ultraviolets provenant du soleil.
ALERTE VAQUITAS: RISQUE DE DISPARITION IMMINENT
Le Vaquitas que nous tentons de protéger depuis 20 ans est entrain de disparaitre sous nos yeux: de 570 en 1997 ils ne sont plus que 97 aujourd’hui dans la mer de Cotez.
Nous avons précédemment soutenu un programme scientifique pour faire le suivi des populations de Vaquitas par la pose de détecteurs acoustiques.
Nous appelons à l’aide pour nous permettre d’aider les scientifiques sur place à s’organiser pour empêcher la pêche sauvage de nuit et les prises accidentelles dans les filets maillants dérivants.
Depuis 15 ans nous avons pu apporter un peu d’aide mais la situation s’est aggravée:un article très bien documenté du New York Times du 14 mai explique qu’en dépit de l’interdiction depuis 2 ans de pêcher le Vaquitas, celui ci est victime de sa proximité territoriale avec un poisson très prisé des Asiatiques pour son foie: le Totoaba.
Selon 30 pays les plus vulnérables comme pour Cousteau : +1,5°C max d’ici à 2100 et 100 % d’énergies renouvelables d’ici 2050 c’est possible !
Dans une déclaration durant la COP21 de Paris le 1er décembre 2015, 30 pays vulnérables déclarent vouloir limiter le réchauffement non pas à 2°C mais a un maximum de 1,5°C à l’horizon 2100.
C’est également la position fermement défendue par l’Equipe Cousteau depuis la Conférence de Copenhague (voir notre communiqué de presse).
Ces états comprennent des pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine qui se considèrent comme particulièrement exposés et vulnérables aux effets du changement climatique (par ex. les Philippines, le Bangladesh, l’Ethiopie, le Ghana, le Kenya, l’Afghanistan, les Maldives, le Costa Rica, Tuvalu, Vanuatu, le Vietnam…).
Par ailleurs, ils appellent à l’intégration dans l’accord de Paris d’un objectif de 100 % d’énergies renouvelables d’ici a 2050 et de ramener les émissions de GES à zéro avant 2080.
Le Commandant Cousteau disait « les missions impossibles sont les seules qui réussissent ».
Ce qui compte avant tout c’est de se mettre en marche vers un objectif qui vaille la peine de se lever et de se lancer dans l’aventure des changements nécessaires jour après jour !
COP 21 : L’Equipe Cousteau présente les enjeux du changement climatique en arctique
Ce matin, Tarik CHEKCHAK, directeur Sciences et environnement de l’Equipe Cousteau a présenté en compagnie de Rémy Marion de l’association Pôles Actions, une présentation sur la situation de l’ours polaire face aux enjeux du changement climatique. La session c’est déroulée au sein du pavillon Tara « Océan et Climat » dans le cadre d’une journée consacrée aux enjeux de l’arctique dans le cadre de la COP21. Parmi les points essentiels de la matinée, ont été explorées les conséquences de la réduction drastique de la banquise estivale sur l’océan glacial arctique et le climat. La table ronde sur les conséquences écologiques a réuni Rémy Marion, spécialiste des régions polaires et co-auteur du livre « Géopolitique de l’Ours Polaire », Olivier Gilg, Président du Groupe de Recherche en Ecologie Arctique et Tarik CHEKCHAK.
Parmi les points proposés par l’Equipe Cousteau, la nécessité de s’adapter a la probabilité que d’ici au plus tard 2100 ,la banquise estivale disparaisse presque totalement de l’arctique, avec de très grandes conséquences sur les écosystèmes qui en dépendent, incluant l’emblématique ours polaire. Devant ce constat, nous recommandons d’identifier des zones, particulièrement dans le nord du Groenland et du Canada, qui pourraient héberger des reliques de banquise estivale et devenir des zones refuges dont il faudrait assurer un haut niveau de protection.
Plus de détails: http://oceans.taraexpeditions.org/m/agenda/en-ce-moment/tara-met-le-cap-vers-la-conference-climat-de-paris-en-decembre-cop-21/
Equipe Cousteau participe à un atelier international à Djibouti
Équipe Cousteau, représentée par Tarik Chekchak, Directeur Science et Environnement et Rebecca Klaus, Conseillère, participe à un atelier international à Djibouti, du 14 au 15 Octobre. Cette région avait été visitée, dans les années soixante, par le Commandant Cousteau lors des expéditions en mer Rouge avec Calypso. En 1967, il a exploré le célèbre golfe du Goubet. Aujourd’hui, suite à la demande de l’IUCN, l’Union internationale pour la conservation de la nature, Équipe Cousteau est de nouveau présent dans cette région afin de s’impliquer dans un projet de recensement et de cartographie des habitats marins, principalement dans le golfe de Tadjourah.